« Les lecteurs auront rectifié d’eux-mêmes » mais :
Dans le billet « 20 mai », il fallait lire « où » au lieu de « ou ».
Dans le billet « 23 mai », il fallait lire « poussoirs » au lieu de « poussoir ».
Dans le billet « 20 mai », il fallait lire « ait » au lieu de « ai ».¹
D’une façon plus générale, il va de soit que les coquilles sont du seul fait de l’imprimeur, et que le lecteur est invité, chaque fois que nécessaire, à lire ce qui doit-être plutôt que ce qui est.
1. Dans les billets précédents, il y a prescription, et si d’aventure, une correction doit-être apportée à celui-ci, elle fera l’objet d’un prochain erratum.
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