– « Une pinup auburn qui chatouille mes burnes »
Ca vient de loin.
Et c’est tiré par les cheveux ok, je m’en doute.
Juste un alexandrin, qui rime (en plein milieu) àl hémistiche. (j’ai un faible, là).
Sinon, je ne me serai pas levé.
– Pas levé. Juste à penser.
Bourré.
Alors.
– Tais toi
Ou taille toi les veines
Et fait pas de fautes à « veines »
– Pourquoi, ça saigne, les fautes ?
– Recule.Tu t’es levé, alors raconte.
…
Recule. Le début.
Ben rien, de.
Des femmes.
Enfin, rien…
Tu l’as dis, des femmes donc, rien
Pas dit donc, merde.
Pas dis ok, j’efface ? (mais oui efface, mais oui, je vais trop vite, et tu veux noter ça?)( déja à trop, j’ai mais trop d’ »s », et a « ça » une poignée de « z » cool ::c’est toi qui note, moi : je «pars en vrille : » point)
Je me suis pas levé pour rien.
Je laisse.
Bon,le cutter, je le pousse
Et j’écris ?
Ou je taille ?
Tu ne t’es pas levé pour rien, bordel : c’est toi qui le dis
Je pousse ok, ok. Je pousse
Allez… le début
Mais merde, je sais plus, je dormais.
Sans blagues.
Non, il y avait en boucle un truc de Bach
Cadeau de l’ami
Un truc ?
Passion, selon, je sais plus : Saint quelque chose, hongrois, ça pulse : Matthieu
Bon, cool… Regarde pas ce cutter, regarde pas je dis ! Raconte !
Rien merde !
Pose ce verre
-Ta gueule !
Quoi tu veux !
-Pose ce cutter, et pose ce verre, c’est tout.
-Tu piges que je m’en fous ?
Tu piges, connard ?
-Te parle pas comme ça.
Tu te recouche ?
-Fatigué
Suite ?
On verra: pas sûr que je m’zn souvienne. déjà les « e » font des « z »
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