C’est un bel apophtegme, et profond (hyperbate).
Mais « un dodécasyllabe avec césure à la septième syllabe […] est-ce un rythme de vers ? » (Dupriez, « Gradus », art. « Césure »)
Hyperbate ? Je ne la vois pas, mais peut-être que ma définition est caduque.
Césure à la septième,ça sonne moins classique qu’à l’hémistiche, un peu comme un accord de septième ( ok, le calembour est nul ).
De toute façon, comme ça ne se voulait pas un vers…
Je prends le mot « hyperbate » dans le sens que retient Dupriez (d’après Quintilien et Morier) : « Alors qu’une phrase paraît finie, on y ajoute un mot ou un syntagme qui se trouve ainsi fortement mis en évidence. » Les dictionnaires classiques font, plus ou moins, l’hyperbate synonyme d’inversion, renversement de l’ordre de construction attendu.
Ici, ce sont la virg— et la cop— (il manque « ule » deux fois. Ha ! ha !) qui soulignent l’hyperbate.
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C’est un bel apophtegme, et profond (hyperbate).
Mais « un dodécasyllabe avec césure à la septième syllabe […] est-ce un rythme de vers ? » (Dupriez, « Gradus », art. « Césure »)
Hyperbate ? Je ne la vois pas, mais peut-être que ma définition est caduque.
Césure à la septième,ça sonne moins classique qu’à l’hémistiche, un peu comme un accord de septième ( ok, le calembour est nul ).
De toute façon, comme ça ne se voulait pas un vers…
Je prends le mot « hyperbate » dans le sens que retient Dupriez (d’après Quintilien et Morier) : « Alors qu’une phrase paraît finie, on y ajoute un mot ou un syntagme qui se trouve ainsi fortement mis en évidence. » Les dictionnaires classiques font, plus ou moins, l’hyperbate synonyme d’inversion, renversement de l’ordre de construction attendu.
Ici, ce sont la virg— et la cop— (il manque « ule » deux fois. Ha ! ha !) qui soulignent l’hyperbate.