Un Haiku :
3 vers. 5-7-5.
Un Icul¹ :
12-9-3 ( enfin deux alexandrins et césure à la ligne) Et faukçarime…
?
Et puis non. Plus.
Changée la rêgle.
La versification explose, et au passage perd ses pieds.
Depuis des années, sans changer la notice…
De toute façon :
Décasyllabe, c’est plus joli qu’alexandrin. Alors ?
Alors c’est comme on veut.
Vieilles rêveries éthylées I, en attendant.
Elle dans mes bras
Son regard transperce
Et mon cœur brise
Ce duo, seins précis
Pourtant des anarchistes
Offerts aux lèvres
Dans ses yeux brûlant
Tant de choses étonnantes
La neige aime
Les draps qui crissent
Son corps qui se déroule
Ma main se pose
Un profond regard
Epaules lourdes et douces
Le ciel est tombé
Reculer pour voir
Lumière de tes lèvres
Ici il fait beau
Le saké pour le corps Le haïku pour le cœur
La, un cœur qui bat
Je l’écoute doucement
Ce soir le soleil
J’attends 22
C’est l’heure ou elle va venir
Il ne fait plus froid
1. Les Iculs ça peut commencer là
Commentaires récents