Google ne doute de rien.
Même au milieu de l’Antarctique, il propose d’explorer les environs, histoire de se choisir un petit restau sympa pour le déjeuner.
Merci qui ?
Une fois par an, depuis un quart de siècle, je sors de ma bibliothèque un livre de poche qui lui, a bien son demi-siècle.
Je l’ouvre page 356, et je savoure « La passion considérée comme course de côte », paru initialement dans « Le canard sauvage », édition du 11 au 17 avril 1903. Ce parangon du journalisme paléo-historique se trouve dans « La chandelle verte » , recueil de chroniques issues de la plume d’Alfred Jarry.
Après, je bade :
La morale murale, Battre les femmes, Hommages posthumes…
Note : Alfred Jarry, je n’apprendrais rien à personne, ne s’est jamais outre-mesure, préoccupé de référencement, et le « Castor Astral », seule maison à le proposer à son catalogue non plus. En conséquence, et selon les loi du marché, une recherche « google » sur « La chandelle verte » vous renverra neuf fois sur les dix réponses de la première page à un restaurant parisien. La dixième, c’est le « Castor Astral » qui s’en sort honorablement. Quand à Jarry, il n’arrive qu’en page deux, grâce à wikipédia citant le père Ubu.
Quand au restaurant. Que bio, il propose des plats végétariens et sans gluten, passe, que les animaux soient « admis » la ou Jarry les aurait « servi (en sauce) », admettons, mais qu’il occupe la devanture de l’informateur mondial, avec ses horaires, ses prix, ses critiques, alors qu’il est fermé…
Note aussi : On peut lire « La passion considérée comme course de côte » sur wikisource.
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