– Pose ce martini et apprend moi à peindre.
J’ai « déplacé » le martini.
– Tiens, j’enlève ma toile, je t’en mets une vierge, te passe le matériel et on y va ?
– Regarde? Cherche ? Imagine ? Essaye? Qu’est ce que tu veux peindre ? Je t’aiderais.
Nue, sous la blouse que je lui avait prêté.
Elle suçotait un pinceau, en me disant « c’est difficile ».
Il ne me reste que le début de sa toile, et une de moi, dessous, que j’ai vendu.
Et une très belle nuit d’amour.
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