De me remémorer que le 3 mars était l’anniversaire du décès de Georges Perec à été si morosifiant, que je n’ai pas pu trouver l’énergie de souhaiter l’anniversaire de naissances marquantes ce jour.
Que Cantor, l’ensembliste, Bell, le téléphoniste, ou Mnouchkine, la pas mal de bon théatre-iste, me pardonnent.
Quand à Pérec, autant j’aime sa « Disparition », autant j’exècre sa disparition.
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