J’abhorre la télévision. Parfois pourtant, je dois la subir. Tout à l’heure, publicité pour un agrume dont je tairais le nom. Mais surtout, surtout, Chopin en accompagnement.
J’ai un plan pour acquérir une Kalachnikov, dans les banlieues parisiennes. Quand j’aurai mon cancer, perdu pour perdu, je n’aurai plus qu’à trouver les balles.
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