– C’est quoi tes petit trucs blancs en os ?
Et tes truc noirs en je sais pas quoi ?
-Tu m’a ramené mes petites lianes ?
-T’es fou toi ! D’abord, il n’y en a pas des « petites » longue, comme tu veux et…
-Ramène, je me débrouillerais.
-Et ces troncs, tu vas couper comment ?
Et pourquoi ?
– Musique.
-Musique, c’est quoi ça ?
-Pour l’ambiance, quand le chaman, il délire, c’est pop.
-Pop ?
-Top si tu veux, t’occupe, lui il a ses champignons de merde, moi, j’apporte aux autres, et tout le monde délire.
-Du bruit tu veux faire ?
-Musique merde, j’ai dit, tu entendra. Et cherche aussi des pieds.
– Des pieds ? Déjà tu m’a dit ça, pour tes phrase qui tombaient pas rond.
– Des truc en bois connard,des rondins, pas des vers.
-Du bois pas vermoulu ?
-Si tu veux 4, 5, 6, je sais pas, cherche et bosse.
Moi, je bricole mais ça va chier.
Maïeutique piano
fouilles après l’hp. Faut-il y retourner ?
Sophie dans mes bras
Son regard me transperce
Et mon cœur brise
Ses seins sont si beaux
Un peu des anarchistes
Offerts aux lèvres
Dans ses yeux on voit
Tant de choses étonnantes
La neige aime
Les draps qui crissent
Son corps qui se déroule
Ma main se pose
Un profond regard
Des épaules si douces
Le ciel est tombé
Reculer pour voir
Lumière de tes lèvres
Ici il fait beau
Le saké pour le corps Le haïku pour le cœur
La, un cœur qui bat
Je l’écoute doucement
Ce soir le soleil
J’attends 22
C’est l’heure ou elle va venir
Il ne fait plus froid
Bonsoir,
Cet après midi, j’ai fait ce que j’aime beaucoup,
Une petite songerie, au fond de mon divan,
Et puis, entre des « conneries » (aspirateur, rangements, j’en passe…)
Des poèmes pour toi,
Et pour moi aussi, forcément : rien n’est à sens unique.
Tu devais courir pour attraper une balle.
J’ai bien couru aussi, pour écrire ces haïkus,
Pour espérer te faire rêver, et avec toi dans la tête (et ailleurs, partout)
Avec ce « jeu », de poésie, complexe : ( 3 vers : 5,7,5)
Qui doit propulser le lecteur dans le ciel,
J’ai appelé l’amie dont je t’ai parlé, qui a perdu sa fille l’an dernier, dans une totale absurdité d’incendie. J’ai fini par avoir le courage,
Ca a été bon. Pour elle, donc pour moi.
Lacher-prise…On en a bien parlé.
C’est souvent, au final, le meilleur choix,
Même toi qui te bats comme une enragée dans un match, ou dans la vie,
Tu sais bien que ça n’a pas d’importance, puisque tu ne peux pas changer ce qui s’est passé.
On fini par comprendre que plein de verbes sont inutiles : diriger, imposer, négocier, gagner, perdre…
Il en reste deux : « accepter » pour ne pas mourir, et « avancer » pour vivre, et ils disent tous les autres.
Et si avant laisser la mort me surprendre
J’accrochais les hanches
Et au bord de l’abîme
Plus confiance en rien
surtout pas à une corde
Juste à tes seins.
Elle a la chtouille
Mais je l’ai tant désiré
Tatouage en haut de la jambe
Elle ne gagnera pas encore
Cette fois
Cela résonne
Son trop explosif
Si peu pour accrocher
Une âme
Comme un papillon
Je vis
Dans le creux de ton pari
Loto ne gagne pas
L’amour parfois
Parfois
Hiroshima
Fukushima
Les japonais sont de vrais cons
De ne rien jamais entendre
Aux rimes
Ramblin’ je rampe
On my quoi
Esprit ?
Celle que j’aime est nue
Dans mon chez lui
Au milieu de poèmes
Et de phrases aux cutter
Nue
Roder
Aux pieds sales
Demain
Pour sa beauté
Je lave
Les pierres dévalent
Mes pierres tombent
Les siennes volent
Jusqu’au ciel
Le sage dit
Le bonheur est dans mes mains
Je n’ai plus de mains
Perdu cent histoires.
Je réécris
J’ai toujours réécrit
Pavé gris, goudron
Mauve du marché
Africaine, dis moi ta verticale.
Hommage à Fernando
Je marche
Je n’avance pas vers.
Je rythme de mes bottes
Le son
C’est un beau printemps
Les oeillets gris volent sous dans mes yeux voleurs.
Monde qui montre et qui hurle quand on regarde
Yeux voleurs, baissés, dans le caniveau
Les mégots trempés sont beaux
Il ne s’en ni disent, ni vantent, ni non
Pas besoin de tricher pour admirer
Une andouilette ou un mégot
Hou hou
Please to meet you
Pendant que j’écris
Je ne bois que du saké
Mon papillon arrive ?
Je suis la, au sol
Rétamé la au clavier
God Bless you
Ce mollet si vif
Aikaï qui se perd ici
Toute sa douceur
Rien. Du rien
Le téléphone à grillé
Et mon cerveau avec
Monabanq, elle
Je suis vraiment bien absent
Chèque, argent, qui, quoi ?
La pierre est tombée
Sous elle, le sol, nu et noir
Mon cœur bat, au son de ses pas.
Gracieuse, elle est partie
Ému, je rôde, mon ventre crie
Juste une lance.
Elle boit, un peu d’eau
Gracile, je la contemple
Lumière de l’ébéniste
Aux choses
Le chemin qui devient
Il crève de la faim
L’aube est plus petite
Le ciel du cimetière, ici
Me reposer, et faire l’amour
Si, arrêtez, cafard
Cercueil, intention, vous
Là, dernier… après, rien
Vinci, Monsieur
Moi aussi, je ne connais qu’elle
Crocodiles, noirs
Allo. Et toi ? Et toi ?
Le saxophone hurle son ‘mi’
Je n’entends que le ‘la’
Tombé
Chute de bien trop haut
Matin qui franchit la douleur
Mes yeux s’éloignent
Fraîcheur de ce corps rose
Mes mains savent
Tous, ne le savent pas
Qui sait, et quoi, je lune ?
J’embrasse, à cœur perdu
Ne prends pas le poisson
Qui vibre au soleil de son lac
Laisse le. Existe
Mains au ciel du tueur
Lumière, poison de l’aube
La nuit descend, vite
Orange, Mon Seigneur
Payez pour notre place
Ou ne savons plus être
Marche. La ou le ciel est sec
USA, tu want mon petit bébé
La femme de ménage ferme le bureau
And the call girl say
Reed, enfer, paradis
Tout le monde a le chemin coupé.
Naturellement, somptueuse
Elle pose, c’est un nu
Je suis amoureux
Autrefois, plié
J’ai… rien, tu as
Retiré l’épine de mon pied
Famine d’enceinte
L’enfant va mourir
Tailler, encore tailler
Les ronds s’endorment
C’est l’heure de fermer le bleu
Sa (Ma) cousine se souvient
J’aime. Trois notes.
Le si grand soleil est sommeil
Moscou aussi a trois notes
Un os. S’il vous plait
Ou …(…heu…)
Parti bien trop tôt
La nuit me laisse au pied du champ
Labourer le noir
Médication du rouge
Soigne, ne lave pas, rien
Laisse l’anarchie
Grand jour que hier soir
Bal au creux de tes reins
Couper simplement la nuit
Je n’ai rien dit ou alors
Merci de ne pas avoir entendu
La petite ampoule derrière, m’illumine
Tout ce rouge, ces veines nues
Le soleil sèche le sang
Ce mien coule aussi rouge en toi
Tout va, il en reste
De la vodka, des ciseaux, un test
Il veut devenir un, ou nu ?
Baader, GT, l’autre
Celui qui rêve de ce seul amour absolu
Que « woul’d » ne connait pas
Pavés gris, goudron
Mauve, lumière du marché
Africaine, dis moi la verticale
En Hommage à Fernando
Je marche, mes pas ne sont pas lents
Juste au rythme
Je ne fais que prendre mes yeux
Et les jeter, à la volée, tout alentour.
Fleurs de printemps grises qui s’envolent.
Ou lieux cachés que tout montre
Arabesques
Au final, je veux moi aussi une andouillette
Jupes une sur des cintres
Cintres eux la nus
Je rêve de ses cintre nus
Casser une canette
Casser, sinon, bien oui, une rime
Casser, le ciel m’emporte
Les oiseaux déchiquettent
Le mur gris de mon domaine
Les attraper, doucement
Zèle d’idiot, adieu
Ma plume est en acier
Attention : Place 022440 Weber Cyrano.
Place, plage, pleutre
Maître ,courage, le vin flotte.
Les bouchons idem
La lune est bleue
Les yeux sont bleus
comment ces bleus fusionnent ?
Gerbe douce explosive.
Fleurs violette qui enfle
Jute a gauche, le bouton
La lune tombe
L’enfant, lui, s’envole
Papillon vertical dan un rond absolu
Je voudrais
La simple douceurs de tes mains
Et la puissance de tes lèvres
Une douce salade, épices
Cirque de Sarfaté.
Yeux qui cherchent où et quand
Et quoi ? Toi ?
Pour la beauté du ciel qui s’embrase sous tes pas mouillés
Pour le feu que tu laisse d’un regard s’enflammer
Pour les sexes humides qui n’éteignent pas ce feu
Pour juste une marque
Pour juste une étincelle
Pour toi
Pose ton ventre sur mes lèvres
J’essaierai de te donner
I just wanna love you.
I just ganna can’t it now
Sophie, je fais quoi ?
Je pense à un verre et une cigarette toute la journée, ou je prends les deux et suis débarrassé ?
Je ne veux pas te « perdre »
Mais quand on se retrouve « perdu », c’est quoi, se perdre ?
Oléron la vie
Tout petit lieux de soleil
Je brille de toi
Non plus de muses
Elles sont parties voir ailleurs
Le saké déplait
Bien jolis globes
Mes mains s’y posent en ferveur
Et ton cul, IDEM
Soleil, pieds ongle
Déjà bas je suis ému
Enfin le soleil
Un sein dans ma main
Ton corps qui doux se love
Croire tenir, bonheur
Russe blanc encore
Je suis pas prêt à chanter
J’ai le cœur cassé
Bonjour toi la vie
Permets moi de respirer
Au creux de son sein
Ba be bi bo bu
Oui, bien trop bu ce matin
Tchavolo joue bien
Ce soir dans ses bras
J’espère son ventre immense
Serré entre moi
Couleur soleil
Aujourd’hui canicule
Demain bien trop froid
Poser la couleur
Espérer qu’elle s’arpège
L’arc en ciel tout bleu
J’avais perdu le goût de la sodomie
Tu as fait renaître un très très grand désir
Je n’étais plus amoureux des fellations
Tu as su raviver mon imaginaire
Je ne connaissait plus le goût d’un ventre
Mes lèvres et mon sexe l’ont retrouvé dans le tien
Peindre son sexe en couleurs écarlate
Te laisser t’endormir ta main autour du mien
Le bonheur n’est jamais si loin
Elle rêve de nuit
Elle va se recoucher
Soleil de minuit
La je la rejoins
Elle illumine mon cœur
Le songe d’elle
Pablo m’enrève
Il a bien de la chance
Cet enfant au yeux
Caresse sa peau
Elle est si ronde et douce
Ne pers plus ta vie
Colère des cieux
Les éclairs vont frapper
Lumière jaune
Cinq roses et de l’eau
Trois statues et un tableau
Je perds le sommeil
Boire sinon pleurer
L’alcool donne l’ivresse
Et l’enfer aussi
Viens dormir elle dit
Poser un et un bijou
Oui, fermer ses yeux
Procès et tableau
Image contre la loi
Ne jamais donner
Deux clopes, alcools
Moi je n’en veux d’aucun d’eux
La mort me cherche.
Mes femmes
L’éthérée
La disserte
La garce
La coquine
La précieuse.
Celle avec qui je vis
Celle autour de mes bras
En faire une ?
Seule de toutes.
Télephone bourgueil
La vie me laisse bras bas
Tu es dans ma vie
Au jour mon amour
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