Tombé
Chute de bien trop haut
Matin qui franchit la douleur
Mes yeux s’éloignent
Fraîcheur de ce corps rose
Mes mains savent
Tous, ne le savent pas
Qui sait, et quoi, je lune ?
J’embrasse, à cœur perdu
Ne prends pas le poisson
Qui vibre au soleil de son lac
Laisse le. Existe
Mains au ciel du tueur
Lumière, poison de l’aube
La nuit descend, vite
Orange, Mon Seigneur
Payez pour notre place
Ou ne savons plus être
Marche. La ou le ciel est sec
USA, tu want mon petit bébé
La femme de ménage ferme le bureau
And the call girl say
Reed, enfer, paradis
Tout le monde a le chemin coupé.
Naturellement, somptueuse
Elle pose, c’est un nu
Je suis amoureux
Autrefois, plié
J’ai… rien, tu as
Retiré l’épine de mon pied
Famine d’enceinte
L’enfant va mourir
Tailler, encore tailler
Les ronds s’endorment
C’est l’heure de fermer le bleu
Sa (Ma) cousine se souvient
J’aime. Trois notes.
Le si grand soleil est sommeil
Moscou aussi a trois notes
Un os. S’il vous plaît
Ou …(…heu…)
Parti bien trop tôt
La nuit me laisse au pied du champ
Labourer le noir
Médication du rouge
Soigne, ne lave pas, rien
Laisse l’anarchie
Grand jour que hier soir
Bal au creux de tes reins
Couper simplement la nuit
Je n’ai rien dit ou alors
Merci de ne pas avoir entendu
La petite ampoule derrière, m’illumine
Tout ce rouge, ces veines nues
Le soleil sèche le sang
Ce mien coule aussi rouge en toi
Tout va, il en reste
De la vodka, des ciseaux, un test
Il veut devenir un, ou nu ?
Baader, GT, l’autre
Celui qui rêve de ce seul amour absolu
Que « woul’d » ne connait pas
Pavés gris, goudron
Mauve, lumière du marché
Africaine, dis moi ta verticale
En Hommage à Fernando:
Je marche, mes pas ne sont pas lents
Juste au rythme
Je ne fait que prendre mes yeux
Et les jeter, à la volée, tout alentour.
Fleurs de printemps grises qui s’envolent.
Ou lieux cachés que tout montre
Arabesques
Au final, je veux moi aussi une andouillette
Jupes une sur des cintres
Cintres eux, la, nus
Je rêve de ses cintre nus
Casser une canette
Casser, sinon, bien oui, une rime
Casser, le ciel m’emporte
Les oiseaux déchiquettent
Le mur gris de mon domaine
Les attraper, doucement
Zèle d’idiot, adieu
Ma plume est en acier
Attention : Place 022440 Weber Cyrano.
Place, plage, pleutre
Maître, courage, le vin flotte.
Les bouchons idem
La lune est bleue
Les yeux sont bleus
comment ces bleus fusionnent ?
Gerbe douce explosive.
Fleurs violette qui enfle
Jute à gauche, le bouton
La lune tombe
L’enfant, lui, s’envole
Papillon vertical dans un rond absolu
Je voudrais
La simple douceurs de tes mains
Et la puissance de tes lèvres
Une douce salade, épices
Cirque de Sarfaté.
Yeux qui cherchent ou et quand
Et quoi ? Toi ?
Pour la beauté du ciel qui s’embrase sous tes pas mouillés
Pour le feu que tu laisse d’un regard s’enflammer
Pour les sexes humides qui n’éteignent pas ce feu
Pour juste une marque
Pour juste une étincelle
Pour toi
Pose ton ventre sur mes lèvres
J’essaierai de te donner
I just wanna love you.
I just ganna can’t it now
Oléron la vie
Tout petit lieux de soleil
Je brille de toi
Non plus de muses
Elles sont parties voir ailleurs
Le saké déplait
Bien jolis globes
Mes mains s’y posent en ferveur
Et ton cul, IDEM
Soleil, pieds ongle
Déjà bas je suis ému
Enfin le soleil
Un sein dans ma main
Ton corps qui doux se love
Croire tenir, bonheur
Russe blanc encore
Je suis pas prêt à chanter
J’ai le cœur cassé
Bonjour toi la vie
Permets moi de respirer
Au creux de son sein
Ba be bi bo bu
Oui, bien trop bu ce matin
Tchavolo joue bien
Ce soir dans ses bras
J’espère son ventre immense
Serré entre moi
Couleur soleil
Aujourd’hui canicule
Demain bien trop froid
Poser la couleur
Espérer qu’elle s’arpège
L’arc en ciel tout bleu
Commentaires récents